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ذكر الله نعمة كبرى، ومنحة عظمى، به تستجلب النعم، وبمثله تستدفع النقم
وهو قوت القلوب، وقرة العيون، وسرور النفوس، وروح الحياة، وحياة الأرواح. ما أشد حاجة العباد إليه،
 وما أعظم ضرورتهم إليه، لا يستغنى عنه المسلم بحال من الأحوال
 . قال رسول الله صلى الله عليه وآله: بادروا إلى رياض الجنة، فقالوا: وما رياض الجنة؟! قال: حلق الذكر

 

 

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Il y a    personne(s) sur femmes musulmanes

Que Du Vieux

                                                                                                          

 
  


Seigneur!ne laisse pas dévier nos coeur aprés que tu nous aies guidés,et accorde nous , ta miséricorde.C'est toi,certes, le grand Donateur!

"Ô Seigneur ! Je cherche protection auprès de Toi contre les tourments de la tombe, contre le supplice de l'Enfer, contre la tentation de la vie et de la mort et contre le mal de la tentation de l'Antéchrist."

"Ô Seigneur ! Je me suis fait beaucoup de tort à moi-même et il n'y a personne qui puisse pardonner les péchés sauf Toi. Pardonne-moi donc d'un pardon de Ta part et accorde-moi Ta miséricorde. Certes, c'est Toi le Pardonneur, le Très Miséricordieux."

"Ô Seigneur ! Aide-moi à T’invoquer, à Te remercier et à T’adorer de la meilleure manière." .


 

Une nouvelle rubrique consacrée pour  LES 40 HADITHS NAWAWI sur Femmes musulmanes , vous y trouverais inch'Allah les Matn des 40 hadiths accompagnées biensûr de leurs explications .

 

 

 

 

24 mars 2006 5 24 /03 /mars /2006 21:14
mardi 21 mars 2006, par Tariq Ramadan
 

Je l’ai vu pleurer.

Des doutes, des remords, des blessures et des secrets.

 Je l’ai vu révoltée.

De la bêtise des hommes, de leur duplicité, de leurs mensonges.

 Je l’ai vu sourire.

De la tendresse, de l’affection, de la douceur et des regards.

 Je l’ai vu se perdre et se gagner, tomber et se relever. Elle cherchait, comme tout le monde ; se blessait, comme tout le monde ; doutait, comme tout le monde. Comme tout le monde qui ne ressemblait à rien. Elle faisait le métier de toutes les attractions et de toutes les répulsions, le métier du jeu et des mensonges. Le métier des sombres miroirs qui reflètent tant de vérités.

 Je l’ai vu pleurer.

Des doutes, des remords, des blessures et des secrets.

 Je l’ai vu révoltée.

De la bêtise des hommes, de leur duplicité, de leurs mensonges.

 Je l’ai vu sourire.

 De la tendresse, de l’affection, de la douceur et des regards.

 Je l’ai vu prier à l’heure des joies et des blessures. Revendiquer sa solitude et ses amours. Se parler, se raconter l’histoire, un rêve, un avenir, une autre vie, un autre métier. Les blessures étaient profondes à la mesure du jeu et des protections cadenassées. Une apparence qui révélait tout, de rien. Au cœur des nuits profondes et de l’ennui, il y avait bien au fond un peu de lumière, un peu de vie.

 Je l’ai vu pleurer.

Des doutes, des remords, des blessures et des secrets.

 Je l’ai vu révoltée.

 De la bêtise des hommes, de leur duplicité, de leurs mensonges.

 Je l’ai vu sourire.

 De la tendresse, de l’affection, de la douceur et des regards.

  J’ai croisé sa quête, son besoin de sens et ses désillusions. J’ai croisé mes impuissances. La proximité d’un cœur qui s’ouvre et reste fermé. J’ai confié à l’Unique le sens de mes questions. Il m’a répondu, une fois, à l’aurore des aubes : de ton silence naîtra la lumière de tes mots. Je connaissais le chemin, j’ignorais la musique. Au loin me parvenait l’appel du dernier, du cinquième rendez-vous. J’ai écouté, j’ai entendu. Du fond de mon cœur son sourire m’a répondu.

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